
La volonté de gestion pour l’économie
La répression surprise de l’argent noir en Inde via la démonétisation des billets de 500 et 1000 roupies se se déroule pas très bien. L’ancien premier ministre Manmohan Singh a qualifié l’idée d’énorme erreur de gestion et de pillage légalisé. En effet, l’idée que cela pourrait coûter deux points de pourcentage à la croissance du PIB de l’économie qui croît le plus rapidement au monde. De plus, la participation volontaire à l’échange des anciens billets contre des nouveaux, qui se termine aujourd’hui. Les gens pouvaient déposer leurs anciens billets à la banque jusqu’au 31 Décembre, a été bien en-deçà des attentes.
La démonétisation contre l’argent noir
Par conséquent, le gouvernement prend des mesures encore plus agressives pour délester les épargnants de leur cash prétendument ‘blanchi’. Comme le rapporte L’Indian Express, le gouvernement Modi pourrait amender certaines lois. Et ceci afin d’introduire un impôt de presque 60% sur les dépôts ‘ non comptabilisés’ dépassant un certain seuil. Les banques rapportent que plus de 21000 roupies de crore ont été déposées sur des comptes à solde nul. Le tout ouvert dans le cadre du programme Jan Dhan, au cours de deux semaines suivant la démonétisation des billets de 500 et 1000 roupies. Et donc, les autorités pensent que c’est là où se concentre l’ argent noir blanchi.
Les sources de l’Indian Express ont déclaré que le gouvernement souhaitait taxer l’argent ‘ non comptabilisé’ déposé dans les banques. Et ceci, après avoir permis aux gens de restituer les anciens billets pendant 50 jours, du 10 Novembre au 31 Décembre. En effet, le journal Indien ajoute qu’il n’y a pas eu de rapport officiel de cette réunion d’urgence. En effet ce qui suggère que le gouvernement Modi est vraiment paniqué. Et donc, il fait tout son possible pour proposer rapidement des mesures en vue de démonétiser la population indienne, dont la richesse est composée principalement d’argent liquide.
Pour L’ achat d’Or ou la vente d’OR
Prenez contact avec notre bureau de Mons.